faut -i bruler farba
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LE FORUM DE L'ASSOCIATION DES SENEGALAIS DE L'HERAULT :: CATEGORIE GENERALE :: Economie et Politique
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faut -i bruler farba
Faut-il bruler Farba ?
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Faut-il brûler La Joconde ?", demandait, en 1911, le poète Guillaume Apollinaire en guise de provocation. Nul besoin d'un référendum pour connaître la réponse : chaque jour, ce sont entre 20 000 et 40 000 visiteurs du monde entier qui se pressent devant le tableau de Léonard de Vinci (1452-1519). Et les enquêtes montrent que l'immense majorité des personnes qui se rendent au Musée du Louvre à l'occasion d'un voyage à Paris souhaitent, avant tout, admirer ce chef-d’œuvre de la Renaissance italienne. C'est en raison de ce plébiscite continu que les conservateurs du musée ont choisi de faire réaménager et rénover la salle des Etats, afin de pouvoir mieux exposer, à partir du 6 avril, le fragile panneau de peuplier qui porte les traits de Lisa Gherardini, dite Monna Lisa, épouse de Francesco Del Giocondo, notable florentin.
Devant les frasques quotidiennes du Ministre, Farba Senghor, on est tenté de se poser la même question, non pas pour célébrer son extravagance et la médiocrité de ses actes, mais afin de susciter une étude sérieuse sur ce phénomène nouveau. Farba, Président à la place du Président, chef du gouvernement à la place du titulaire nécessite une mobilisation de tous les esprits avertis afin de conjurer le mal. C’est à cet exercice que nous allons nous livrer dans les lignes qui suivent pour sauver la République. Il est possible que les visiteurs du monde entier fassent le voyage pour le Sénégal et délivrer à nos gouvernants le satisfecit de la mal gouvernance.
Nous sommes en face d’une parodie de gouvernance, que tous les analystes politiques et les spécialistes en Organisation peinent encore à décrypter. Sans vouloir se perdre en conjectures, notre devoir de citoyen est donc, de poser le débat.
Farba ce pétaradant Ministre de la République à lui seul remet en cause aujourd’hui des milliers de théories en Sciences sociales et mêmes physiques. La seule théorie valable chez lui est la théorie du chaos. Cette pseudoscience qui pose en postulat les besoins physiologiques d’un groupe de parvenus. En effet, s’appuyant sur la bénédiction du Maitre, il s’érige en sauveur de la République. Malheureusement, notre Ministre hors du commun, confond lamentablement les priorités et s’attaque à plus grand que lui. Son immixtion dans le dossier de l’éducation décrédibilise l’action gouvernemental et pose le problème de la sincérité du combat des syndicalistes. La rationalité de l’action publique ne saurait s’encombrer d’une telle forfaiture.
Et pour les syndicats enseignants, ils confirment l’idée que l’avenir de l’école n’est point la motivation de leur combat. Ils s’agissaient pour eux d’user de tous les moyens légaux et illégaux pour obtenir leur part de la fondation WADE.
Incapable de régler les problèmes de son propre département, il menace des diplomates de l’aviation civile d’expulsion, saquant du même coup toute la culture de la Téranga hérité de nos ancêtres. Sur ce point précis, il ignore complètement que le management Africain s’appui plus, sur la logique communautaire et social que sur la logique économique et affairiste.
Cet ensauvagement de la République doublé d’une culture de menace et d’obscurantisme n’augure rien de bon pour notre pays, car l’action de l’Etat s’adosse sur des principes et non sur du chantage.
Nous étions hier la jeunesse avant -gardiste du combat pour l’alternance et nous sommes à même de comprendre Farba, dans ses réactions de survie. Mais, méditant le sort des socialistes en 2000, nous restons convaincus que la gouvernance par exception ne peut prospérer.
Il faut commencer par replacer la culture de compétences au centre de l’action gouvernemental, par une exclusion de tous les « ministrons » troubadours et autres mannequines en manque de visibilité. The right man on the right place. Voila une inspiration américaine qui mériterait d’être le leitmotiv de notre Président.
En outre, le comportement des medias d’état frise la répugnance, en excellant dans la manipulation pour maquiller les bourdes de Farba et de ses amis. De toute façon, comme le disait le chanteur : On a tout compris !
Pour revenir à notre ministre hors du commun et répondre à notre interrogation de départ, il nous semble que les psychologues devraient se pencher sur ce cas particulier de mythomanie.
Au delà de cette invitation à la recherche pour nos psychologues, il est temps de siffler la fin de la récréation car le peuple à faim et cette exigence du ventre ne peut attendre qu’on finisse d’attiser le feu.
NIANG BASSIROU alias NIOKHOR
Doctorant en Sciences de Gestion
Montpellier 3
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Faut-il brûler La Joconde ?", demandait, en 1911, le poète Guillaume Apollinaire en guise de provocation. Nul besoin d'un référendum pour connaître la réponse : chaque jour, ce sont entre 20 000 et 40 000 visiteurs du monde entier qui se pressent devant le tableau de Léonard de Vinci (1452-1519). Et les enquêtes montrent que l'immense majorité des personnes qui se rendent au Musée du Louvre à l'occasion d'un voyage à Paris souhaitent, avant tout, admirer ce chef-d’œuvre de la Renaissance italienne. C'est en raison de ce plébiscite continu que les conservateurs du musée ont choisi de faire réaménager et rénover la salle des Etats, afin de pouvoir mieux exposer, à partir du 6 avril, le fragile panneau de peuplier qui porte les traits de Lisa Gherardini, dite Monna Lisa, épouse de Francesco Del Giocondo, notable florentin.
Devant les frasques quotidiennes du Ministre, Farba Senghor, on est tenté de se poser la même question, non pas pour célébrer son extravagance et la médiocrité de ses actes, mais afin de susciter une étude sérieuse sur ce phénomène nouveau. Farba, Président à la place du Président, chef du gouvernement à la place du titulaire nécessite une mobilisation de tous les esprits avertis afin de conjurer le mal. C’est à cet exercice que nous allons nous livrer dans les lignes qui suivent pour sauver la République. Il est possible que les visiteurs du monde entier fassent le voyage pour le Sénégal et délivrer à nos gouvernants le satisfecit de la mal gouvernance.
Nous sommes en face d’une parodie de gouvernance, que tous les analystes politiques et les spécialistes en Organisation peinent encore à décrypter. Sans vouloir se perdre en conjectures, notre devoir de citoyen est donc, de poser le débat.
Farba ce pétaradant Ministre de la République à lui seul remet en cause aujourd’hui des milliers de théories en Sciences sociales et mêmes physiques. La seule théorie valable chez lui est la théorie du chaos. Cette pseudoscience qui pose en postulat les besoins physiologiques d’un groupe de parvenus. En effet, s’appuyant sur la bénédiction du Maitre, il s’érige en sauveur de la République. Malheureusement, notre Ministre hors du commun, confond lamentablement les priorités et s’attaque à plus grand que lui. Son immixtion dans le dossier de l’éducation décrédibilise l’action gouvernemental et pose le problème de la sincérité du combat des syndicalistes. La rationalité de l’action publique ne saurait s’encombrer d’une telle forfaiture.
Et pour les syndicats enseignants, ils confirment l’idée que l’avenir de l’école n’est point la motivation de leur combat. Ils s’agissaient pour eux d’user de tous les moyens légaux et illégaux pour obtenir leur part de la fondation WADE.
Incapable de régler les problèmes de son propre département, il menace des diplomates de l’aviation civile d’expulsion, saquant du même coup toute la culture de la Téranga hérité de nos ancêtres. Sur ce point précis, il ignore complètement que le management Africain s’appui plus, sur la logique communautaire et social que sur la logique économique et affairiste.
Cet ensauvagement de la République doublé d’une culture de menace et d’obscurantisme n’augure rien de bon pour notre pays, car l’action de l’Etat s’adosse sur des principes et non sur du chantage.
Nous étions hier la jeunesse avant -gardiste du combat pour l’alternance et nous sommes à même de comprendre Farba, dans ses réactions de survie. Mais, méditant le sort des socialistes en 2000, nous restons convaincus que la gouvernance par exception ne peut prospérer.
Il faut commencer par replacer la culture de compétences au centre de l’action gouvernemental, par une exclusion de tous les « ministrons » troubadours et autres mannequines en manque de visibilité. The right man on the right place. Voila une inspiration américaine qui mériterait d’être le leitmotiv de notre Président.
En outre, le comportement des medias d’état frise la répugnance, en excellant dans la manipulation pour maquiller les bourdes de Farba et de ses amis. De toute façon, comme le disait le chanteur : On a tout compris !
Pour revenir à notre ministre hors du commun et répondre à notre interrogation de départ, il nous semble que les psychologues devraient se pencher sur ce cas particulier de mythomanie.
Au delà de cette invitation à la recherche pour nos psychologues, il est temps de siffler la fin de la récréation car le peuple à faim et cette exigence du ventre ne peut attendre qu’on finisse d’attiser le feu.
NIANG BASSIROU alias NIOKHOR
Doctorant en Sciences de Gestion
Montpellier 3
bassniang- DAKHAR
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Date d'inscription : 31/03/2009
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